Pulsations - neurochirurgie https://pulsations.hug.ch/mots-cles/neurochirurgie fr Nouveau traitement des hématomes sous-duraux chroniques https://pulsations.hug.ch/article-pro/nouveau-traitement-des-hematomes-sous-duraux-chroniques <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Clémentine Fitaire</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>Les hématomes sous-duraux (HSD) chroniques constituent une pathologie fréquente chez les personnes âgées. Si la chirurgie reste à ce jour le traitement de référence, une intervention endovasculaire complémentaire permet désormais de diminuer les récidives.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Un hématome sous-dural chronique correspond à une accumulation progressive de sang sous la dure-mère. La pression exercée sur le cerveau provoque alors des symptômes parfois sévères, tels que des déficits neurologiques et des céphalées ainsi que des troubles de la parole, de la mobilité, de la mémoire ou de la concentration. Dans les cas les plus graves, ces HSD mettent en jeu le pronostic vital.</p> <p>La chirurgie constitue depuis de nombreuses années le traitement de référence lors d’un HSD symptomatique ou volumineux. Néanmoins, bien qu’elle soit efficace et garantisse une amélioration rapide des symptômes, elle comporte un risque de récidive dans 15 à 20 % des cas. « L’inflammation autour de l’hématome entretient de petits vaisseaux qui peuvent continuer à saigner à bas bruit. Cela vient nourrir de nouveau le HSD qui ne se résorbe donc pas totalement et se reforme », détaille le Pr Paolo Machi, médecin adjoint agrégé responsable de l’Unité de neuroradiologie interventionnelle.</p> <h2><strong>Une thérapie innovante</strong></h2> <p>Afin de réduire le risque de rechute, un nouveau traitement endovasculaire mini-invasif est depuis quelques mois proposé en combinaison avec la chirurgie. Il consiste à obstruer les vaisseaux vascularisant la dure-mère pour mettre fin à l’irrigation de l’hématome. « Imaginons que l’hématome est comme une baignoire qui déborde. Tandis qu’à l’aide de la chirurgie, l’écoulement pour vider rapidement la baignoire est agrandi, le traitement endovasculaire agit tel un robinet que l’on ferme pour éviter qu’elle ne se remplisse à nouveau », résume le Dr Jérémy Hofmeister, médecin adjoint à l’Unité de neuroradiologie interventionnelle.</p> <p>Concrètement, il s’agit d’injecter un liquide d’embolisation via un microcathéter dans les artères méningées moyennes pour réduire l’apport sanguin à la dure-mère. D’une durée de quarante-cinq à soixante minutes, cette intervention est effectuée sous anesthésie générale par l’équipe de neuroradiologie interventionnelle. Des études cliniques récentes publiées dans le New England Journal of Medicine ont démontré l’efficacité de cette approche, qui, lorsqu’elle est combinée avec la chirurgie, engendre un risque de récidive moindre (3 à 5 %).</p> <p>Plus d’une centaine de personnes ont déjà bénéficié de ce traitement hautement spécialisé en Suisse. Au niveau romand, seuls les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) et le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) disposent de l’expertise nécessaire et du plateau technique pour procéder à l’intervention.</p> <h2><strong>La chirurgie n’est pas systématique</strong></h2> <p>Afin de proposer la stratégie thérapeutique optimale, chaque cas d’hématome sous-dural chronique est à présent discuté conjointement entre l’équipe de neuroradiologie interventionnelle et l’équipe de neurochirurgie. Ainsi, un hématome de petite taille et asymptomatique peut parfois justifier une simple surveillance par imagerie, ou un traitement endovasculaire seul. « Une <a href="https://bmjopen.bmj.com/content/15/5/e092014" target="_blank">étude randomisée prospective multicentrique</a> dirigée par le Service de neurochirurgie des HUG est en cours pour mesurer l’efficacité individuelle de ce traitement endovasculaire sur le risque de récidive, comparativement à son association avec la chirurgie. Ces résultats doivent encore être confirmés, mais ils sont très prometteurs pour élargir l’arsenal thérapeutique et améliorer la compréhension de cette pathologie », souligne le Dr Aria Nouri, chef de clinique du Service de neurochirurgie et investigateur principal de l’étude.</p> <p>Pour contacter l’Unité de neuroradiologie interventionnelle :<br />+41 (0)22 372 70 45<br /><a href="mailto:neuroradiologie.secretatiat@hug.ch">neuroradiologie.secretatiat@hug.ch</a></p> <p>Pour contacter le Service de neurochirurgie :<br />+41 (0)22 372 52 53<br /><a href="mailto:neurch.vasculaire@hug.ch">neurch.vasculaire@hug.ch</a></p> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even"><a href="/mots-cles/nouveau-traitement" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">Nouveau traitement</a></li><li class="field-item odd"><a href="/mots-cles/neurochirurgie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">neurochirurgie</a></li><li class="field-item even"><a href="/mots-cles/neuroradiologie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">Neuroradiologie</a></li><li class="field-item odd"><a href="/mots-cles/chirurgie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">chirurgie</a></li></ul></section> Tue, 20 May 2025 09:06:49 +0000 lbgb 3473 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article-pro/nouveau-traitement-des-hematomes-sous-duraux-chroniques#comments Nouvelle prise en charge des tumeurs cérébrales https://pulsations.hug.ch/article/nouvelle-prise-en-charge-des-tumeurs-cerebrales <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Yseult Théraulaz</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Science Photo Library</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>Les patients et patientes sont désormais reçues conjointement par des spécialistes en neurochirurgie et en neuro-oncologie pour toutes les informations en lien avec leur traitement.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Lorsqu’une tumeur cérébrale est diagnostiquée chez une personne, celle-ci commence un parcours de soins long et parfois compliqué. Elle est prise en charge tant par un ou une neurochirurgienne que par un ou une neuro-oncologue, d’où la nécessité de réunir ces deux spécialistes lors d’une consultation commune.</p> <h2>Une évaluation complète</h2> <p>Mise en place au printemps dernier dans le but de fournir toutes les explications importantes au même moment, la <a href="https://www.hug.ch/oncologie/consultation-commune-neuro-oncologie-neurochirurgie" target="_blank">nouvelle consultation</a> permet une évaluation complète du ou de la patiente, tant sur le plan oncologique que chirurgical. "Lors de cette consultation commune, une ou un case manager est également présent. Son rôle est de coordonner le parcours de la personne souffrant d’une tumeur cérébrale. Il faut savoir que les traitements évoluent sans cesse et, dans un avenir proche, certaines thérapies seront administrées directement pendant l’intervention chirurgicale, d’où la nécessité de la présence des deux spécialistes au même moment pour bien expliquer ces aspects. Les proches peuvent également participer pour mieux encadrer et soutenir le ou la malade. Plus il y a d’oreilles attentives, mieux c’est, car il y a souvent beaucoup d’informations à assimiler", explique le Pr Denis Migliorini, médecin responsable de l’Unité de neuro-oncologie. Lorenzo, dont le gliome (un type de tumeur cérébrale) a été diagnostiqué en 2019, a bénéficié de cette nouvelle consultation : "Par le passé, j’étais uniquement suivi par un neurochirurgien qui m’avait suggéré de me faire opérer. N’ayant pas de symptômes, j’ai préféré attendre. Lorsque je suis retourné à l’hôpital pour le suivi, un neurochirurgien et un neuro-oncologue m’ont accueilli. Les médecins ont pris du temps pour m’expliquer les choses et nous avons décidé de faire le point une fois par an pour surveiller le gliome et intervenir au besoin. Avoir deux sons de cloche plutôt qu’un est très rassurant." D’une durée d’environ une heure, cette consultation commune est proposée en début de traitement et par la suite en fonction de l’évolution de la tumeur et du plan de soins.</p> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/tumeur-cerebrale" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">Tumeur cérébrale</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/neurochirurgie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">neurochirurgie</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/neuro-oncologie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">Neuro-oncologie</a></li></ul></section> Sun, 15 Oct 2023 12:59:43 +0000 admin 2776 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/nouvelle-prise-en-charge-des-tumeurs-cerebrales#comments Neurochirurgie: une chambre à part https://pulsations.hug.ch/article/neurochirurgie-une-chambre-part <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Laetitia Grimaldi</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Louis Brisset</li></ul></section><div class="field field-name-field-introduction field-type-text-long field-label-hidden view-mode-rss"> <div class="field-items"> <div class="field-item even"> <p>Conçue pour des personnes cérébrolésées – ayant subi un traumatisme crânien par exemple –, la chambre inaugurée en janvier dernier au sein du Service de neurochirurgie est sans précédent. Son ambition : allier innovation, sécurité et confort pour répondre à des besoins très spécifiques.</p> </div> </div> </div> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Une personne sortant du coma, une autre d’un <a href="https://www.hug.ch/accident-vasculaire-cerebral" target="_blank">accident vasculaire cérébral</a>, une autre encore d’un traumatisme crânien sévère : toutes traversent un état d’extrême fragilité, tant cérébrale que physique et psychologique. Dès lors, durant leur hospitalisation, chaque détail compte pour assurer leur confort et sécurité. D’où l’idée de Christine Dégremont, infirmière responsable de l'unité 2AL du <a href="https://www.hug.ch/neurochirurgie" target="_blank">Service de neurochirurgie</a> : « Après quinze années passées au chevet de personnes cérébrolésées, j’ai réfléchi à des équipements qui pourraient les aider, les protéger, mais également soulager le travail des soignantes et soignants. En effet, certains actes en apparence anodins, comme un suivi régulier du poids, peuvent devenir une véritable épreuve physique, tant pour ces personnes qui ne peuvent pas encore se lever que pour l’équipe médicale. »</p> <h2>Éclairage LED et équipement audio Bluetooth</h2> <p>Des heures de travail et un dossier bien préparé plus tard, la « chambre pour patientes et patients cérébrolésés » a vu le jour en janvier dernier, grâce au financement de la <a href="https://www.fondationhug.org/" target="_blank">Fondation privée des HUG</a>. « La pièce a été pensée pour ajuster les stimulations visuelles et auditives à l’état de santé et d’éveil de la personne, faciliter les soins ou encore l’accès aux sanitaires », détaille Christine Dégremont.</p> <p>Autant d’adaptations rendues possibles notamment grâce à un variateur de lumière, un système d’éclairage LED projetant couleurs et stimuli visuels sous forme d’aurores boréales par exemple, un équipement audio Bluetooth, un lit permettant d’asseoir et de peser la personne ou encore des W.-C. électriques et une salle de bains entièrement adaptée.</p> <h2>Sécurité au cœur du projet</h2> <p>« La notion de sécurité a été un élément central du projet », poursuit l’infirmière. Tout choc doit absolument être évité. « Suite à une <a href="https://www.hug.ch/accident-vasculaire-cerebral/qu-est-qu-avc-ait" target="_blank">hémorragie cérébrale</a> par exemple, certaines personnes ont subi une craniectomie, autrement dit une ablation d’une partie de la boîte crânienne. Le cerveau est alors dans un état d’extrême vulnérabilité », explique Christine Dégremont. Pour limiter tout risque de chute, la chambre a donc été désencombrée et le mobilier adapté. Table, chaises et armoire métallique habituelles ont ainsi été remplacées par un bureau rabattable contre le mur et réglable en hauteur, des poufs et un tapis en mousse, et des rangements optimisés. À noter que le lit lui-même s’est mué en allié sécurité : « Les bords du matelas ont été dotés de détecteurs de mouvement alertant l’équipe soignante si la personne s’apprête à se lever. Ainsi, nous pouvons arriver tout de suite et l’accompagner dans ses déplacements », détaille l’infirmière.</p> <p>Partenaires clés du processus de rétablissement, les proches ont également été pris en compte dans le projet de la chambre, comme le détaille Christine Dégremont :                  « Lorsqu’une personne est dans le coma ou polytraumatisée, leur présence est extrêmement précieuse. Pour améliorer le confort, nous avons prévu un vrai lit rabattable, intégré dans la paroi de la chambre la journée et que l’on peut descendre le soir. »</p> </div></div></div><div class="field field-name-field-blocs-supplementaires field-type-entityreference field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even"><article id="node-2148" class="node node-content-stat-bloc article odd node-default clearfix" about="/content/statbloc-2148" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content" style="font-size:100px"> <div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><h2>Témoignage : « Une vraie aide à la rééducation »</h2> <p>Aujourd’hui en réadaptation à Beau-Séjour, Geoffrey, jeune homme victime d’un grave accident de la route, a été le premier patient accueilli dans ce nouvel espace : « Elle est super cette chambre, conviviale, assez vaste pour circuler en fauteuil roulant sans se cogner partout. Une barre de son permet d’écouter sa propre musique et il y a même un lit intégré pour qu’un ou une proche puisse rester dormir sur place. Tout cela peut paraître anodin, mais fait beaucoup de bien au moral. C’est une vraie aide à la rééducation. »</p> </div></div></div> </div> </article> </div><div class="field-item odd"><article id="node-2152" class="node node-content-gallery-bloc node-promoted article even node-default clearfix" about="/content/gallerybloc-2152" typeof="sioc:Item foaf:Document" role="article"> <div class="node-content"> <div class="field field-name-field-galleybloc-images field-type-image field-label-hidden view-mode-default"><div class="field-items"><figure class="clearfix field-item even"><a href="https://pulsations.hug.ch/sites/pulsations/files/styles/gallery-800x600/public/p22-03_actu_chambre_neuro_web_photo_01_1.jpg?itok=Wz2eFgWF" title="" class="colorbox" data-colorbox-gallery="gallery-node-2152-9ZzUHw2z_fQ" data-cbox-img-attrs="{&quot;title&quot;: &quot;&quot;, &quot;alt&quot;: &quot;chambre neurochirurgie&quot;}"><img typeof="foaf:Image" class="image-style-gallery-800x600" src="https://pulsations.hug.ch/sites/pulsations/files/styles/gallery-800x600/public/p22-03_actu_chambre_neuro_web_photo_01_1.jpg?itok=Wz2eFgWF&amp;c=43d55920faad465daafbceace0a88dae" alt="chambre neurochirurgie" title="" /></a></figure><figure class="clearfix field-item odd"><a href="https://pulsations.hug.ch/sites/pulsations/files/styles/gallery-800x600/public/p22-03_actu_chambre_neuro_web_photo_03_1.jpg?itok=DKfGPTLV" title="" class="colorbox" data-colorbox-gallery="gallery-node-2152-9ZzUHw2z_fQ" data-cbox-img-attrs="{&quot;title&quot;: &quot;&quot;, &quot;alt&quot;: &quot;chambre neurochirurgie&quot;}"><img typeof="foaf:Image" class="image-style-gallery-800x600" src="https://pulsations.hug.ch/sites/pulsations/files/styles/gallery-800x600/public/p22-03_actu_chambre_neuro_web_photo_03_1.jpg?itok=DKfGPTLV&amp;c=9d50e4569a709a222188d82817a66165" alt="chambre neurochirurgie" title="" /></a></figure></div></div> </div> </article> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/neurochirurgie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">neurochirurgie</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/traumatisme-cranien" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">traumatisme crânien</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/hospitalisation" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">hospitalisation</a></li></ul></section> Fri, 22 Jul 2022 14:37:37 +0000 admin 2137 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/neurochirurgie-une-chambre-part#comments Divertir avec la réalité virtuelle https://pulsations.hug.ch/article/divertir-avec-la-realite-virtuelle <section class="field field-name-field-auteur field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Texte:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Giuseppe Costa</li></ul></section><section class="field field-name-field-creditsphotos field-type-taxonomy-term-reference field-label-inline clearfix view-mode-rss"><h2 class="field-label">Photos:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even">Louis Brisset</li></ul></section><div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden view-mode-rss"><div class="field-items"><div class="field-item even" property="content:encoded"><p>Le <a href="https://www.hug.ch/neurochirurgie" target="_blank">Service de neurochirurgie des HUG</a> met à disposition de ses patients des casques de réalité virtuelle.</p> <p>Sur demande auprès du personnel soignant formé à l’utilisation de ces casques, les patients peuvent choisir différents programmes dans un catalogue varié. Si le but premier de ce projet innovant est de divertir les patients durant leur séjour, il est aussi susceptible d’avoir un impact sur le ressenti de la douleur. Une étude clinique est en cours sur ce bénéfice potentiellement induit.</p> <p>Ce projet a été mis en place en collaboration avec la <a href="https://je.epfl.ch/" target="_blank">Junior Entreprise EPFL</a>, qui a assisté le service dans la sélection des casques et la configuration des programmes.</p> </div></div></div><section class="field field-name-field-tags field-type-taxonomy-term-reference field-label-above view-mode-rss"><h2 class="field-label">Mots clés:&nbsp;</h2><ul class="field-items"><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/neurochirurgie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">neurochirurgie</a></li><li class="field-item odd" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/realite-virtuelle" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">réalité virtuelle</a></li><li class="field-item even" rel="dc:subject"><a href="/mots-cles/technologie" typeof="skos:Concept" property="rdfs:label skos:prefLabel" datatype="">technologie</a></li></ul></section> Mon, 01 Jul 2019 08:53:06 +0000 admin 1125 at https://pulsations.hug.ch https://pulsations.hug.ch/article/divertir-avec-la-realite-virtuelle#comments